Curieux de tout depuis toujours, je dois à mon histoire familiale d’avoir donné tant d’importance à ce qui est là et que l’on ne voit pas.

Plus tard, ce sont les attentes non exprimées qui ont retenu m'on attention et c’est naturellement que j’ai souhaité suivre une session de recherche et d’expérimentation auprès d’Alexandre Gurita à l’ENDA en 2017-2018.

Je pense l’art invisuel comme un mouvement et non une nouvelle tendance tant la part invisuelle de l’art fait partie intégrante de celui-ci est caractérise l’oeuvre ainsi reconnu par le public. Elle en est son esprit, son supplément d’âme, ce plus qui en fait une oeuvre.

Après avoir participé au premier colloque international d’art invisuel (DOXA er PARADOXES) j’organise des débats (agora’rt) dans l’espace public et c’est en tant que menbres fondateur de l’institut de recherche d’expérimentation et de démonstration international een art (IREDIA) que je co-organise tous les deux ans, le colloque international d’art invisuel Afrique (CIAIA) dont la troisième édition va avoir lieu en 2026, à Ouagadougou, Burkina-Faso.